Romans

Elys et la fleur de pouvoir – paru le 7/07/22 aux éditions Jeanne Sélène

Souffre-douleur de sa caserne, Iro, l’hybride solitaire, survit à cette ambiance malsaine en se faisant le plus petit possible, en dépit de sa carrure d’athlète et de sa peau de crapaud. Son seul réconfort, il le trouve auprès d’un arbre.

Ses tentatives pour devenir invisible échouent définitivement lorsqu’il se retrouve garde du corps d’un Maegis un poil excentrique. Et le voilà bientôt sur les routes pour une mission scientifique. Officiellement, le mage botaniste, soutenu par le roi, doit en apprendre plus sur une fleur. Mais traverser tout le royaume et s’engager sur des terres peuplées de monstres et d’ennemis de la couronne pour une simple fleur, c’est un peu gros, n’est-ce pas ? Et si son protégé ne lui avait pas tout révélé ? Si les obstacles s’avéraient un peu plus nombreux qu’escompté ?

Le Dernier Chant de Musaraigne

Le barde Musaraigne – qui préfère qu’on l’appelle juste Muse, merci bien – sait qu’il ne lui reste plus longtemps à vivre.
Alors lorsqu’un poney qui parle l’embarque dans une quête pour retrouver sa propriétaire portée disparue dans les montagnes, il est certain que c’est une très mauvaise idée. Probablement pas la pire qu’il ait eu… mais très certainement la dernière.
Parce qu’une seule chose attend Muse dans ces montagnes : la mort, inévitable, qui ne demande qu’à le saisir.

Une Promesse de Nuit et d’Ecaillles

Sehar ne veut pas être une Gardienne. Il ne peut pas en être une, tout simplement.
Alors quand le pouvoir le choisit, il préfère fuir la tour au milieu du désert où il a toujours vécu, que rejoindre l’élite des soldats de son peuple et être forcé d’être vu comme une femme. A peine dehors, il croise deux chevalieresses de la Botte, Lo et Del, qui veulent être les premiers Aradhiens à traverser le désert et à en revenir. Ensembles, iels se retrouvent littéralement projetés à l’autre bout du monde, en plein dans un conflit politique qui concerne Sehar bien plus qu’il n’aurait pu l’imaginer…

En cours de réécriture : PNE sera désormais une trilogie.

Autres projets en cours dans l’univers d’Abradja et Aradhis :

  • La trilogie des Immortels :

Daeterra se réveille après plusieurs milliers d’années avec la prophétie la plus inquiétante qu’un Um’Breck n’ait jamais reçue dans son sommeil : Un enfant d’humain qui ne peut pas être tué sera la cause de la fin de tout. Le problème ? Le monde qu’elle connaissait avant de s’endormir a déjà totalement changé, les humains ont disparus depuis si longtemps qu’ils ne sont plus que des légendes (et c’est quoi, au juste, un humain ?), et la seule personne qui peut l’aider à retrouver une civilisation à alerter du danger imminent est un migraineux grognon, myope et peu coopératif. Malheureusement, les Um’Breck ne se trompent jamais : la fin sera là, que le monde soit prêt ou non pour l’affronter.

Projets en cours dans d’autres univers :

  • La malédiction du Rossignol (Série, fantastique) :

Lorsque le charismatique Victor Rossignol débarque à Quiron-sur-Baie, les anomalies magiques se multiplient et menacent de révéler au public la petite communauté de sorciers qui vit paisiblement là depuis plusieurs générations.
Charlie Robin, plus jeune mage local et grande gueule de renom, est certain d’une chose : Victor est soit un démon, soit un dangereux sorcier maléfique. Et si ce n’est pas lui le responsable des anomalies … alors Charlie compte bien remonter à leur source, et prouver à sa famille et au reste du monde qu’il n’est pas juste un sale gosse incapable qui cause plus de problèmes qu’il n’en résous !

  • Le dévoreur de Sirène (Tome unique, Space Fantasy) : résumé à venir.
  • Les Vents souffleront (Trilogie, Space Fantasy) : résumé à venir.
  • Le vœu du sorcier (Conte illustré pour grands enfants) : résumé à venir.
  • Le poème (Tome unique, low-fantasy) :

Au 2ème étage du 12 rue des Mirabelles, à la troisième fenêtre en venant du quai Saint-Laurent, un nouveau vers était collé en grandes lettres blanches chaque jour sur la vitre – et chaque matin avant de retourner au port, Lucas faisait un crochet pour connaître la suite du poème.

Mais le matin du 27 novembre, la vitre était vierge, et les rideaux tirés. Pendant une semaine, la fenêtre resta muette.

Jusqu’à ce qu’au matin du 4 décembre, sur les volets fermés, deux nouveaux vers apparaissent :

Si tu veux connaître la fin,

Trouve l’île avant demain.